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GT O-Connect : Océan, connectivité fonctionnelle et résilience au Changement Global
Groupe de Travail porté par Céline Reisser (MARBEC – Ifremer), Audrey Darnaude (MARBEC – CNRS) et Katell Guizien (LECOB – CNRS)

Objectifs du Groupe de Travail

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Afin d’endiguer les conséquences potentiellement dramatiques des changements environnementaux en cours, une des premières urgences est d’améliorer notre compréhension des mécanismes qui gouvernent la distribution de la biodiversité marine et son rôle dans le fonctionnement des écosystèmes. C’est l’objectif principal du groupe de travail O-CONNECT qui a pour point focal l’étude de la Connectivité Fonctionnelle Marine (CFM).

 

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Lion fish out of the blue fishing on a wreck!.jpg

 La connectivité marine fonctionnelle (CFM)  caractérise l’ensemble des flux (d’espèces, d'individus, de génotypes/phénotypes, de matière et/ou d’énergie) qui résultent du déplacement (temporaire ou non) des organismes marins, en mer mais aussi à l’interface mer-continent. Parce que c’est LA CFM qui définit l’essentiel des liens entre les populations d’une même espèce, les espèces au sein des communautés et les habitats qui les abritent (y compris à l’interface terre-mer), elle est l’un des principaux facteurs contrôlant le devenir des écosystèmes marins et de tous les socio-écosystèmes associés.

Dans ce contexte, O-CONNECT vise à fédérer les chercheurs et chercheuses de diverses disciplines, notamment en génétique et évolution, biologie/écologie marine, biogéographie, océanographie physique, mathématiques, climatologie, droit des mers, économie, archéologie et sciences sociales, avec pour objectifs :


(1) d’unifier et intégrer les recherches sur la CFM, ses moteurs et ses conséquences écologiques et socio-économiques,

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(2)
d’accroître la transdisciplinarité dans ce domaine en France afin d’avancer les connaissances mondiales sur la dynamique et l’évolution de la biodiversité marine et son rôle dans le fonctionnement des socio-écosystèmes marins et littoraux.

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​Obtenir une image plus fiable et plus complète de la CFM et de son rôle dans la résilience des écosystèmes peut non seulement considérablement améliorer nos prévisions de l’évolution de la biodiversité marine, mais aussi l’efficacité des politiques locales et internationales en termes de gestion de l’environnement et des ressources (gestion des pêcheries, planification spatiale maritime, contrôle des espèces envahissantes et des agents pathogènes) en mer et en zone littorale. 

 

Ceci nécessite cependant une forte intégration trans-disciplinaire des recherches et des connaissances à l’interface entre Sciences, Politique et Société.

 

 

 

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Ce GT est ouvert à toute la communauté scientifique française impliquée 

dans l'étude des mers et des océans

 

Pour nous rejoindre, merci de remplir le formulaire

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